chaque partie de mon corps qui tremble de peur.
L’étoile verse l’eau sur la rivière.
C’est moi agenouillée,
mouillée et triste
qui regarde l’eau partir.
Chaque cellule régénérée
Se perd à jamais
Dans le découlement qui soupire :
« L’aube est ambre
et tes yeux son noirs. »
Fils de l’eau en quête d’une forme
Ne pleure pas à travers tes mains,
Regarde-toi dans le reflet de l’eau
Et chante.
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